URUGUAI le sombre....

hmmm envie d'une petite partie de skijo couillue couillonnante?

Heuuuuuu... avec lui je ne tenterais pas: on est pas encore assez intimes

Par contre si ça tient la grisette va peut être reprendre du service en registres bétises.............. (avec moulte longe avant car elle a un péchon d'enfer en ce moment )

C'est un mérens, ou c'est mes yeux qui me font défaut ?...

C'est tes yeux qui te font défaut!!!

C'est du pur sang lusitanien déguisé en mérens
C'est un ortigao costa: élevage qui ne fait que du lusitanien noir.

A ta décharge la photo ne met pas du tout en avant le modèle MDRR; plus haut tu verras des photos en longe ou on voit que ce n'est pas aussi rablé que du mérens. Mais c'est noir tout pareil effectivement

Mérens?

Ca n'était pas que la couleur qui m'avait fait dire ça, mais surtout la croupe, avec les 2 fesses bien marquées et un petit V entre les deux, typique du mérens !

Et puis en fait aussi, la quantité de poil qui donne un air nounours, ça me rappelle pas mal les 2 gros que j'ai dans mon pré !!!

Bon je descend du couillu, de plus en plus agréable en balade, se retient moins, commence à comprendre qu'il faut avancer quoi qu'il arrive, trotte et galope dans le calme (ce couillon se révèle un vrai fauteuil, ce qui ne gache rien). Je crois meme que ma première plage de l'année je me demande si ce n'est pas lui que je vais charger dans le van....................

Enchainé: premiers tours de piste en carrière avec les poulains caracolant et les 3 donzelles campées à pisser tout ce qu'elles peuvent le plus près possible de la cloture et en le suivant..... Il a du succès.... Il a mis un peu de temps à s'en remettre d'ailleurs (imaginez moi parant le cheval en suivant en m'appliquant pour pas lui filer un coup de rape sur le sexe - et en essayant de composer avec l'appendice génant dans la manoeuvre ), mais il a été mignon au possible, et à présent, resté très à l'écoute, pas de "déconnexions" avec moi, bref un bon bon gars

Il fait beau ici, on se ccroirait presque en Juin. Je bouffe et file monter Jardi

J'adore lire des choses comme cela ...

Ca avance bigrement d'un coup, dis donc!

Ondine a écrit:

Ca avance bigrement d'un coup, dis donc!

Oui comme toujours avec lui visiblement, il progresse palier brutal par palier brutal en repoussant le point de rupture (si on a la sagesse de ne pas aller tripatouiller au delà du point de rupture de l'instant T ). Donc pour l'instant notre "score" carrière est de deux tours de pas avec cercle à chaque main et une moitié de piste au trot.
Il faut rester humble, et mes objectifs lilipputiens semblent faire merveille, donc.....

Blague à part j'ai été très surprise et contente de constater que le cheval demeurait "à l'écoute" de ma voix et indications.
L'étape de la cravache aussi est très importante: si on a une couille on attaque de la cravache et obtient un cheval qui bondit en avant au lieu de , au départ, un cheval qui semblait trrrrrrrrès enclin à se facher tout rouge et tout déglinguer pour cette agression..................
On a donc deux gros trucs fondamentaux : la connexion au cavalier et la leçon de jambe, qui sont en train de faire leur bonhomme de chemin sans être acquis bien sur pour l'instant.

Pour l'anecdote, hier au tel avec deux copains qui ont passé un repas avec un ami éleveur à eux... La question des étalons est venue sur le tapis et l'éleveur, qui avait vu Uruguai chez son propriétaire dans une vie antérieure, avait été fort surpris d'apprendre que le biniou était en rééducation, et l'aurait qualifié de "tueur"...........................................
Peut être jamais je n'arriverai à dresser académiquement correctement un cheval, mais je crois que ce genre d'anecdotes suffisent largement à caresser un égo qui y est sensible

Kaïs a écrit:

Oui comme toujours avec lui visiblement, il progresse palier brutal par palier brutal en repoussant le point de rupture (si on a la sagesse de ne pas aller tripatouiller au delà du point de rupture de l'instant T ).

Quand on sévissait encore sur les chemins avec la grisette c'était elle qui me montrait très très explicitement jusqu'où je pouvais demander ou pas (pas possible de louper c'était même carrément une invitation ). Et le déblocage avait été carrément brutal aussi, la jument était la première à vouloir renverser toutes les difficultés!
Donc je dirais pareil que toi, avec de tels chevaux: plus on va lentement, plus c'est eux qui prennent l'initiative... et plus on progresse vite.

Citation :

Blague à part j'ai été très surprise et contente de constater que le cheval demeurait "à l'écoute" de ma voix et indications.

C'est super.
Ta connexion avec ton cheval, c'est la seule chose qui compte pour lui, bien plus que ton égo, dont ton cheval se fout éperdument et même pire: pollution inutile de votre relation et risque +++ de tout gâcher bêtement par orgueil, plus qu'autre chose...

Bah Uruguai se fout de mon égo, et mon égo n'a jamais pollué mon travail, alors que les bruits réprobateurs derrière la barrière auraient largement pu entamer les conviction de qui que ce soit, donc je ne me fais pas de soucis de ce coté là.
Mais tu vois, en dressage j'explore les tréfonds des classements avec ma grise Jardi, j'y arrive pas, ya 5 ans de boulot sur elle sans parvenir à avoir un cheval académiquement présentable, etc etc.....

Donc bon, pas de quoi faire reluire un égo, même petit
Et par contre, chaque progression d'Uruguai (qui me semble logique vu, comme tu le dis, le temps que je prends, que j'ai pris avec Jardi, et qu'aucun autre félé hors masochiste ne prendrait), chaque moment sur le dos de ma si complexe mais si agréable grise me remplit de joie et justifie pleinement tous les sacrifices pour garder ces bêtes et continuer.
L'égo n'a donc rien à voir là dedans.

Par contre, j'avoue, la petite 5eme place au championnat de france de hunter club, bien que modeste, m'a faite verser ma petite larme, de même que la première place d'aquitaine. Et puis d'entendre dire que je pose les fesses inocemment sur un tueur qui n'en est plus un, en toute honneteté et sans fausse pudeur, cela titille mon égo à m'en faire rougir les oreilles: chui peut être nulle en dressage académique ou dans pleins d'aures trucs, j'ai peut être une approche et des méthodes qui fait rigoler ou frémir (au choix ) tout le monde, n'empèche..... là où les autres se sont plantés, j'y arrive. Et ça, ça titille l'égo et aide à fermer les oreilles, laisser glisser les commentaires et conseils à deux balles que tout le monde est bien avisé de te donner de ce que tu devrais faire...............
Bah si ils sont aussi balèses, pourquoi jamais personne n'a voulu acheter ni Jardi ni Uruguai ni Victoire...............?? Donc disons que plaisir idiot et fat certes, mais qui permet de tenir le cap du reste qui ne l'est pas, idiot et fat .......................



................ en me disant, juste après ce plaisir d'égo qui fait rougir les oreilles, que la traduction immédiate de ces observations de ceux qui connaissaient les chevaux "d'avant", que j'ai donné une seconde chance, une nouvelle vie à ces bêtes qui étaient promises à un avenir pas reluisant......... C'est de l'égo aussi

Kaïs a écrit:

Bah Uruguai se fout de mon égo, et mon égo n'a jamais pollué mon travail, alors que les bruits réprobateurs derrière la barrière auraient largement pu entamer les conviction de qui que ce soit, donc je ne me fais pas de soucis de ce coté là.
Mais tu vois, en dressage j'explore les tréfonds des classements avec ma grise Jardi, j'y arrive pas, ya 5 ans de boulot sur elle sans parvenir à avoir un cheval académiquement présentable, etc etc.....

Donc bon, pas de quoi faire reluire un égo, même petit
Et par contre, chaque progression d'Uruguai (qui me semble logique vu, comme tu le dis, le temps que je prends, que j'ai pris avec Jardi, et qu'aucun autre félé hors masochiste ne prendrait), chaque moment sur le dos de ma si complexe mais si agréable grise me remplit de joie et justifie pleinement tous les sacrifices pour garder ces bêtes et continuer.
L'égo n'a donc rien à voir là dedans.

Par contre, j'avoue, la petite 5eme place au championnat de france de hunter club, bien que modeste, m'a faite verser ma petite larme, de même que la première place d'aquitaine. Et puis d'entendre dire que je pose les fesses inocemment sur un tueur qui n'en est plus un, en toute honneteté et sans fausse pudeur, cela titille mon égo à m'en faire rougir les oreilles: chui peut être nulle en dressage académique ou dans pleins d'aures trucs, j'ai peut être une approche et des méthodes qui fait rigoler ou frémir (au choix ) tout le monde, n'empèche..... là où les autres se sont plantés, j'y arrive. Et ça, ça titille l'égo et aide à fermer les oreilles, laisser glisser les commentaires et conseils à deux balles que tout le monde est bien avisé de te donner de ce que tu devrais faire...............
Bah si ils sont aussi balèses, pourquoi jamais personne n'a voulu acheter ni Jardi ni Uruguai ni Victoire...............?? Donc disons que plaisir idiot et fat certes, mais qui permet de tenir le cap du reste qui ne l'est pas, idiot et fat .......................



................ en me disant, juste après ce plaisir d'égo qui fait rougir les oreilles, que la traduction immédiate de ces observations de ceux qui connaissaient les chevaux "d'avant", que j'ai donné une seconde chance, une nouvelle vie à ces bêtes qui étaient promises à un avenir pas reluisant......... C'est de l'égo aussi

Parceque nous partageons ton sentiment après avoir réussi à soi-disant re-débourrer not' noireaud à nous, Asmun (alors qu'on débourrait tout simplement sans le savoir)... et qu'après coup on nous a envoyé les photos du Maroc...
j'ai pris ton expression d'"égo" au second degré, car si cela fait vachement plaisir d'être arrivé là ou d'autres - soi-disant plus "calés" que nous n'y étaient pas arrivés... Je pense qu'il s'agit plus de "gratification" de la confiance-en-soi que d'égo à proprement parler... parceque l'égo n'a jamais fait avancer le schmiliblick, que du contraire... alors que la confiance en soi, bien...

Sur ce on te souhaite une super-cuvée 2010 dadoutesque et autre...

Je comprends tout à fait le "sentiment" de Kais et j'approuve pleinement sa joie, sa satisfaction, sa fierté .....

Et elle peut faire pêter tout l'égo qu'elle veut pourvu qu'elle continue à se battre / débattre comme cela pour elle pour ses chevaux.
Même le petiot sauvé in extremis ...

Je suis réellement ravie pour elle (toi)

"Ca c'est une nana de cheval"

C'est pas facile d'avoir du SENTIMENT, du BON SENS.

Et là je tire mon chapeau !

Kaïs a écrit:

là où les autres se sont plantés, j'y arrive. Et ça, ça titille l'égo et aide à fermer les oreilles, laisser glisser les commentaires et conseils à deux balles que tout le monde est bien avisé de te donner de ce que tu devrais faire...............

Oui tu as de quoi être contente de toi ... et aussi de quoi t'occuper encore pendant un bon bout de temps!

Avec des chevaux qui reviennent de loin, de toute façon on n'est guère que 2 à apprécier le travail effectué à sa juste valeur: le cheval, et le cavalier... Alors les notes et les bons conseils avisés de tout le monde...

la progression et le dernier compte rendu m'a bien fait rigoler

T'es p't'être pas obligée de parer juste après être allée faire un aller retour sous le nez de ces dames, si ?


Pour l'égo, pas de souci, les chevaux se chargent assez rapidement de remettre les choses à leur place...


Ma minute philosophique :

Pour valoir quelque chose, il faut d'abord savoir ce que l'on vaut...

Ce qu'on sait, savoir qu'on le sait ; ce qu'on ne sait pas, savoir qu'on ne le sait pas : c'est savoir véritablement. (Confucius)
(remplacer savoir par valoir, et c'est exactement l'idée que je souhaite exprimer)

igw58 a écrit:

T'es p't'être pas obligée de parer juste après être allée faire un aller retour sous le nez de ces dames, si ?

Ben j'avais prévu de parer et d'habitude il ne reste pas aussi longtemps "ému".................. Le temps de desseller, faire les antérieurs et tout et tout, normalement c'est bon

Ben là non...................
Dans le meme registre, ce soir: je pare pour la première fois Voglia... et en suivant Victoire, sa mère donc......
J'avais pas tilté....

Mais voilà la Vic à me renifler, me bizouiller dans le cou, me roucouler dessus, limite me deshabiller de manière totalement inédite, quand j'ai tilté que.... JE SENTAIS A PLEIN NEZ SON FILS!!! (dont elle est privée depuis un mois à peine!).

enfin pour revenir à l'égo et les chevaux, oui sans hésiter si on en a en trop ou mal placé ces chevaux s'en chargent rapiiiiidement de remettre les choses à leur juste mesure

xouillou a écrit:

C'est pas facile d'avoir du SENTIMENT, du BON SENS.

Et là je tire mon chapeau !

+ 1! Et c'est aussi tout ce qui fait l'intérêt de ce forum à mes yeux. Partage d'expériences avisées pleines de sentiment et de bon sens!

+1+1 avec tout ca qui a été dit !!

Pour moi, depuis que je te connais à travers les nombreux forums, je sais que tu travailles dans le bon sens Kaïs. Dans le bon sens et avec du bon sens. Tes observations sont toujours très intéressantes, constructives, évidentes ?! et permettent de se remettre souvent en question soi-même et donc d'aller aussi dans le bon sens !!

J'aime ta façon de raisonner, d'aller doucement, liliputiement comme tu dis, sans jamais violer le cheval ... C'est très important !!


MDR pour le couillu ému !!

moi je ne laisse pas souvent de message, mais je viens souvent lire et ta façon de travailler me parle beaucoup. Ca m'encourage à aller dans ce sens. Je recherche aussi d'abord à avoir un cheval fiable en toute situation, ensuite éventuellement à faire un travail académique. Et pour ça, il faut du bon sens, réfléchir à chaque situation en fonction du caractère du cheval, de ses réactions, etc.

Et qui dit qu'avec tes poulinous, tu n'auras pas la possibilité d'avoir un super résultat académique (si ça t'intéresse)?

ioshi a écrit:

Et qui dit qu'avec tes poulinous, tu n'auras pas la possibilité d'avoir un super résultat académique (si ça t'intéresse)?

Je pense effectivement que dans 5 ou 10 chevaux dressés, si j'arrive à persister dans cette voie, je devrais avoir un résultat pas irregardable

Et que, aussi, sur Jardi comme Vic comme Uruguai, je pars à 7 ans avec -3 ans de bagage de dressage.... forcément ça aide pas MDRRRRRRR

10 Janvier 2010
Balade à dos de couillu dans la neige.

Montoir nickel. Détachage du van en progrès car j'ai pu accrocher le licol au van au lieu de partir en le lachant juste il voulait pas comprendre: rester et se rapprocher du van pour faire la manoeuvre, type porte de trec mais sans porte - on va voir comment ca évolue).
Départ un peu houleux, cheval qui se retient (ben oui ya les filles dans les paddocks comme d'hab + la neige en nouveauté > hop je déconne ).
Toujours encéphalogramme plat quand on serre les jambes > rappel de la cravache à peine touché = léger cabré, amorce de saut de mouton, relevage immédiat de la tete, j'insiste un brin, monsieur se débloque, fait les gros yeux à la souche de sortie de parcelle (la meme que toutes les autres fois, mais pleine de neige ), une fois sorti lambine sur la route, et hop on est partis.....

Une fois les 100 premiers mètres franchis, comme d'hab, ça commence à se débloquer et avancer un peu mieux. Arrivée devant les paddocks pleins de juments d'un copain, avec les copains qui sont là, une petite halte à tchatcher: cheval à l'arret impeccablement calme qui se laisse approcher sans pb.... (je rappelle que c'est un de ses points noirs officiels et constatés ++++ en carrière).
On repart, trotte dans la neige, pas cause ornières, trotter, pas = pleins de transitions enchainées et zéro neurone qui chauffe... extra. Toujours limite lymphatique, presque plus aujourd'hui que les autres jours, mais la lecon de jambe fait son chemin, ou pas encore la lecon de jambe mais au moins la cravache: aujourd'hui j'ai meme pu monter le creshendo jusqu'à une vraie frappe pour le faire s'engager, et il n'a pas rouspété de l'offence

Navigue dans les bois enneigés cahin caha.
Nous croisons plein de chasseurs, puis tombons finalement à l'orée d'une battue aux sangliers: chasseurs le long de notre voie, hurlements de chiens et de battue, cheval pas inquiet, calme. Je m'arrête pour prendre les instructions des chasseurs: cheval immobile, calme. détonations toutes proches: cheval oreilles pointées qui ne s'en inquiète pas............
On finit par nous dire de nous faufiler en nous hatant doucement puisque la battue part sur la gauche, s'éloignant de notre chemin: on trotte dans les hurlements, les détonations toutes proches, personnes postées le long du chemin qui nous saluent, oscilant entre pas et trot au gré du terrain et de ses hésitations au sujet des gens et des voitures. Le bruit il n'en a cure.

Galop rènes longues. Il est extrêmement long toujours dans les transitions montantes, je retrouve un peu les memes problemes à ce niveau que au tout début en longe (il a progressé depuis, mais il faut transposer sous la selle; il a zéro réponse aux aides tactiles, et beaucoup de retard sur la voix, ne donne la transition que si il s'est déjà fait rappeler à l'ordre par chambrière ou cravache).
Nous longeons à nouveau le paddock des copains, au trot, il ne hennit meme pas, essaye de gluer la cloture mais cravache lecon de jambe encore et encore.
On déboule devant chez une copine qui nous voit passer et sort: je m'arrete et à nouveau le cheval se laisser approcher et flatter sans inquiétude, juste un tressaillement lors de la première caresse de sa part.
Je repars péniblement en le sollicitant jambe + cravache: en riant je dis à la copine "l'étalon fouuuugueux!!!! PTDRRR" car le paradoxe de son état là par rapport à sa réputation est étonnant et la copine rigole car meme elle à pied voit les difficiultés au démarrage MDRRR

Trot, pas, encore au gré du terrain, une foultitude de changements d'allure, cette sortie (les voitures des chasseurs, avec la neige, ayant défoncé des zones normalement très correctes), je demande le galop sur le retour. Zéro réponse, attaque creshendo de la cravache jusquà la frappe vraie et cinglante: il ensence à peine en guise de protestation et prend le galop. renes longues aussi, transition descendante à la voix.

Je rentre gentiment avec un cheval qui traine un peu: bien cuit de sa grande balade dans la neige pleine de transition. On m'a toujours dit que les transitions fatiguent un cheval quinze fois plus que tenir une allure et là la démonstration était éloquente: le pauvre vieux était vraiment cuit.
Mais super mignon car un cheval comme jardi aurait, au meme stade, fondu un boulon direct au bout de 4 enchainements pas-trot-pas tous les 20 à 50 mètres (sans parler de la battue.... ).

Bon ya toujours de sacrés points à grapiller au sujet de la mise à disposition de l'énergie..................
Mais la déconnade au sujet de la perturbation (la neige) est restée très modérée.
Mardi je pense prendre rdv au ranch pour le déplacer et commencer à le bosser (au départ dans le rond de longe + montoir) dans des lieux inconnus, des écuries, des manèges............. Le top chrono est commencé pour les 3 mois à venir, la confirmation étant le 28 mars.